L’ actualité dominante dans la cité ces dernier temps c’est par rapport à la libération de Foniké Mangué et cie pour avoir être jugés par la justice guinéenne, mais plutôt libérer, alors pour lever l’équivoque, le ministre de la Justice Garde des Sceaux a conféré avec les hommes de médias ce mercredi 17 mai 2023 pour faire part de la vérité dans cette affaire.
Prenant la parole sur le dossier de ces activistes de la société civile, le ministre de la la justice garde des sceaux c’est réjouit de la forte mobilisation pour venir assister à cette conférence de presse.
Revenant sur les circonstances de la libération de Foniké Mangué et cie. Le garde des Sceaux a tenu à rappelé ceci » Il a été une démarche menée par les religieux qui pour eux, la seule chose c’est de maintenir la paix en République de Guinée et faire en sorte que les innocents ne tombe pas lors de ces manifestations toujours projetées en Guinée.
Aujourd’hui, la Guinée n’a pas besoin de brûler parce que quand c’est fait on risque vraiment de voir notre pays comme les autres pays. La boussole aussi c’est le visage humain. Pour lui, personne n’a l’intérêt de voir ce pays détruire. Je l’ai fait au nom de la paix, Il faudrait que chacun travaille pour que la paix règne en Guinée. Donc, pour cela, j’ai décidé de prendre la décision pour faire libérer Foniké Mangué et cie. Aujourd’hui, même ceux qui appellent à manifester n’arrivent pas à maîtriser cela. Les mineurs qui meurent aujourd’hui, dans ces manifestations n’arrangent personne. Le devoir du président de la transition c’est de protéger les guinéens et c’est pour cela que l’État dans sa mission régalienne, vont continuer à protéger les intérêts de ce pays. Le plus important pour moi c’est la Guinée, donc, je vais protéger toujours ce pays. Ne faites pas que le pays brûle à cause du président de la transition acceptons de prendre la Guinée. Plaide le garde des Sceaux.
Il faut qu’on apaise la Guinée parce que ça y va dans l’intérêt de tout le monde. Il faut que chacun d’entre nous calme son jeux. Contribuons tous pour que la Guinée soit constructif. Aujourd’hui, grâce à l’implication effective du président de la transition de demander à tous les acteurs sociopolitique de venir au tour de la table discuter de tous les problèmes pour la bonne marche de cette transition. Mais instruisant le premier ministre chef du gouvernement pour rencontrer les forces vives de la Nation et discuter avec eux. Alors dans un souci d’apaisement, le premier ministre a demandé à ceux que les forces vives font leur préalable et leur parvenir et c’est ce qui a été demandé. Rappelle Alphonse Charles Wright.
Selon le ministre, Au jour d’aujourd’hui, ces forces vives pensaient au tour d’eux qu’il y a un harcèlement judiciaire que l’État entrain de leur subir, alors il faudrait qu’on arrête vraiment cela, ils n’ont pas été poursuivis parce qu’ il y’a un harcèlement, mais plutôt ils ont été poursuivis parce qu’ ils ont appelé les manifestations non autorisées. l’État dit avoir interdit les manifestations, et vous continuez a mobilisé les partisans à sortir pour braver et casser, mais aussi empêcher également les gens à circuler.
Les manifestations perpétuées en République de Guinée, le ministre de la justice a martelé « Depuis l’arrivée des nouvelles autorités de la transition, il y’a eu un décret pour l’interdiction de ces manifestations sur toute l’étendue du territoire national sur les voies publiques mais on constate que du jour au lendemain ces manifestations continuent de se faire sur le terrain » a réitéré le ministre.
Ababacar Sidiki