C’est en présence des ministres du MATD, Mory Condé ainsi que la ministre des pêches et de l’aquaculture Charlotte Daffé que les épreuves du certificat d’étude d’entrée en 7ème année ont été officiellement lancé ce lundi 05 juin 2023 dans la commune de Matam. Cette année, ils ont aux nombres de 6336 pour tout option confondu c’est-à-dire l’enseignement général et l’enseignement Franco Arabe de Guinée et réparti en (15) centres pour un effectif de 3210 filles.
A l’entame de ces propos, Ibrahima Il Barry, directeur communal de l’éducation de Matam c’est dit avoir très satisfait pour le lancement de cet examen au niveau de la commune de Matam, avant de dire ceci : » Depuis le début de l’année, nous avons pris toutes les dispositions pour nous permettre vraiment d’avoir des examens réussites, clairs et accepter de tout le monde et c’est ce qui fait que ce matin, nous avons procédé au lancement des preuves » a fait savoir.
Au nouveau de certificat d’études à Matam, le directeur communal apporte que : » Il y’a (15) centres au niveau de la commune de Matam. Les candidats et les candidates sont répartis dans ces (15) centres et ils ont aux nombres de 6336 candidats pour tout option confondu c’est-à-dire l’enseignement général et l’enseignement Franco Arabe pour un effectif de 3210 filles ».
Pour la particularité de cette année, le directeur précise ceci : »Au niveau des cartes spéciales d’examens, il y’a des codes qui ont été installé dans ces cartes là c’est-à-dire si il y’a une copie du centre de Lansebougnie quitte le centre pour aller à ailleurs, on saura où il a quitté et dans certains centres, il y’a eu l’expérimentation également des caméras ».
Procédé au lancement officiel de ces épreuves au niveau de la commune de Matam, Le ministre du (MATD) Mory Condé a d’abord remercié le président de la transition pour tout le travail abattu pour permettre à l’éducation guinéenne d’aller de l’avant, mais aussi salué vraiment le courage et l’effort de de ces enfants durant les 09 mois d’apprentissage dans les différents classes de de l’école guinéenne. « Aujourd’hui, il faudrait que les encadreurs comprennent aussi qu’ ils ne sont pas là pour que les enfants ayant peur d’eux, mais plutôt permettre à ces enfants c’est-à-dire les candidats de bien fait leur examen sans aucun problème et que le résultat soit apprécié par tous. » a t-il lancé.
Aboubacar