Le président directeurs général Habib Hann entouré des cadres des sociétés d’assurances a animé un point de presse ce mercredi 8 Mai ici à Conakry. Objectif, expliquer aux uns et aux autres sur la situation concernant le retrait des agréments de la Mutragui et la Sonag et surtout les emplois combien menacés.
Dans sa prise de parole, le président Habib Hann explique que c’est le 06 Mai que ces dossiers ont été notifiés. Alors qu’à notre niveau qu’on a été informé par les medias que les deux compagnies sont arrêtées d’exercer leurs activités et du retrait de leurs agréments.
Cette nouvelle a été pour nous entrainement difficile de même une catastrophe. Qu’à cela ne tienne, nous avons jugé nécéssaire de nous approchés de nous assurer pour leur donner des assurances de sens aigu de responsabilité de dirigeants que nous sommes, de nous rapprochés également au personne qui compose nos activités parce qu’il y va de la survie de leurs emplois et de leurs familles.
Selon Habib Hann, il est important de nous rapprocher également de tous nos partenaires que nous avons dont les cotiers, les apporteurs d’affaires, les assurés directement, les intermédiaires et tous ceux qui sont liés dans le monde d’assurance.
Aujourd’jui, ces compagnies d’assurances ce sont les premières compagnies d’assurances en Guinée. C’est les compagnies nationales guinéennes notamment La Sonag qui exerce depuis 1989 et fut la première compagnie d’assurance en Guinée. La Mutragui a suvi de façon très responsable cette profession.
Pour lui, l’expérience de ces deux compagnies ont permis d’avoir de bons cadres. Il est de notre devoir de prendre nos responsabilité pour informer que nous assumons entièrement la responsabilité de nos engagements vis-a-vis de nos assurés dans le cadre de la couverture d’assurances et vis-a-vis de nos rassurés les traités qui nous lie des victimes, des malades et tous ceux qui sont liés par des couvertures d’assurances. Aujourd’hui, nous avons pris des dispositions nécéssaires pour nous rapprochés de la tutelle afin de nous voir comment on peut reconsidérer la decision qui a été prise et permettre aux entreprises de continuer leurs activités. A laissé entendre le directeur général Habib Hann.
Pour les conditionnalités du retrait des agréments, le président Habib Hann explique qu’il faut savoir que c’est régies par les codes d’assurances aussi surveiller par la BCRG, mais dans cette decision force est de reconnaitre qu’il y’a eu des manquements dans ce dossier. Ce retrait nous été surpris vraiment et ça n’a pas été obéit à des règles. C’est de leurs demandé de rester derrière nous et on fait tout pour leur permettre de retrouver leurs compagnies.
Pour le moment, nous privilégions la haute autorité pour sauvegarder les emplois de ceux qui travaillent dans ces compagnies. Nous sommes animés par un dynamisme. La seule vision, c’est de sauvegarder ces emplois. Nous avons plus de 500 emplois ici à Conakry ainsi qu’a l’intérieur du pays. Donc, il faudrait que la (BCRG) à travers le 1er responsable c’est-à-dire, le gouverneur d’accepté les règles et normes permettant aux companies de fonctionner. Aujourd’hui, nous sommes prêts de se soumettre aux règles pour ne pas que cela soit fatale aux guinéens tout bord confondu.
Yansané Morlaye directeur général de la Mutragui assurances pense que tout est possible aujourd’hui, de revenir à des négociations. « Donc, nous allons chercher à oeuvrer pour un dialogue pour ne pas que les emplois des guinéens soit perdu et que la (BCRG) ouvre un couloir de négociation pour sauvegarder l’emploi des enfants de ce pays ».
Aboubacar II Sylla 626 00 74 79