CCIAG : La deuxième assemblée générale finie sur une note de satisfaction

Les rideaux sont tombés sur la deuxième assemblée générale de la chambre de Commerce d’Industrie et d’artisanat de Guinée ce jeudi 22 septembre 2022 ici à Conakry. Les deux jours d’échanges et d’intenses travaux ont enregistré la présence des 128 délégués de la chambre, le président de la chambre et d’autres personnalités. Objectif procédé à la mise en place des 19 commissions techniques pour la bonne marche de la chambre.

Présenté à la cérémonie de clôture, la secrétaire générale du Ministère du Commerce de l’Industrie études PME a mis l’occasion à profit pour rappeler que la première activité c’était d’abord de remuer avec les instances nationales et internationales, de discuter avec eux pour voir comment, nous allons faire en sorte que la chambre du commerce d’industrie de Guinée soit aille de l’ avant. Nous sommes réunis avec les opérateurs économiques afin de discuter sur les questions essentiel pour le secteur. Ce cadre permettra à notre marché de se stabiliser, de créer justement une relation de complémentarité avec les autres institutions de la place comme la chambre d’agriculture de l’élevage et d’autres organisations » a -t -elle martelé.

« Aujourd’hui, il faut reconnaître que la chambre de commerce après de longue années de repos se bat du jour au lendemain pour relever le défis et c’est pourquoi, on a procédé aujourd’hui, à la mise en place du bureau consulaire nationale aussi à penser à mettre tous les textes réglementaires en place qui aujourd’hui ont été adoptés par l’assemblée nationale de notre organisation » a fait savoir la cheffe de cabinet.

Pour les activités en perceptives, la secrétaire générale du département de tutelle a précisé qu’ aujourd’hui, la volonté de l’équipe du président de la transition, le colonel Mamadi Doumbouya est de faire en sorte que la mise en place de la chambre nationale de commerce et d’industrie de Guinée soit faite. Aujourd’hui, nous sommes en train de penser justement à la rénovation de l’hôpital et à son équipement. Il y a d’autres défis aussi que la chambre du commerce compte aussi faire comme étant l’équipement aussi de la région en immobilier qu’on veut impulser pour certaines chambres locales au niveau de ces différentes régions de la Guinée, aussi le personnel du secrétariat d’administratif. Et ces actions de feront de l’autre côté de la Guinée, mais aussi présenter sur l’échiquier internationale qui sera très important pour notre pays. Donc, voici les quelques défis que la chambre du commerce compte faire » a t-elle ajouté.

Pour le 1er vice président de la chambre du commerce d’industrie de Guinée s’est félicité pour cette rencontre.  » Aujourd’hui, le bureau exécutif a besoin d’organe consultatif et c’est pour ça que l’assemblée générale à sa session d’aujourd’hui à voulu mettre à la disposition de ce bureau consulaire national 19 commissions thématique qui couvrent l’ensemble des domaines économiques socio de responsabilité sociétal, de l’artisanat tous les secteurs de la vie socio-économique pour permettre à la chambre d’avoir une dimension. On peut recenser aujourd’hui, les problèmes du secteur privé et les portés au niveau du gouvernement et comprendre aussi les instruments du gouvernement et les vulgariser au niveau des opérateurs économiques dans le cadre d’une harmonie et d’une symbiose » a expliqué Éric Benjamin Colle.

Plus loin, il dira que l’une des plus grandes révolutions que nous avons apportés déjà c’est que le seule texte fondateur de la chambre du commerce c’était les statuts. Nous avons essayé de faire adopté. Le règlement intérieur de la chambre du commerce et d’industrie de Guinée a une charte d’éthique et de déontologie pour nous permettre de faire comprendre les élus qu’ils ne peuvent pas se comporter n’importe quel dans la société.

Actuellement, nous avons un manuel de procédure administrative comptable et financière et puis la structure du chambre consulaire parce que nous sommes un établissement public rattaché au ministère du commerce et de l’industrie. Donc, a ce titre, nous avons obligation de rendre compte les activités que nous faisons parce que c’est même l’État qui nous a rétrogradé une partie de recettes budgétaires à travers les sentiments additionnelles et le fond de garantie du trio pour nous permettre d’exercer nos activités mais de l’ autre côté le travail qui consiste à protéger l’intérêt des opérateurs économiques mais de lutter contre la vie chère et de refuser la spéculation. A précisé le vice président.

De nos jours, il est question de demander les opérateurs économiques de comprendre que les populations ont besoin de bien vivre et nous savons tous que les effets combinés de la Covid-19 et de la guerre en Ukraine ont provoqué une explosion des prix partout daguerre onde. Donc, nous avions signé avec le gouvernement un protocole d’accord par lequel nous avons engagé les opérateurs économiques pour quelques d’henrées de première nécessité de large consommation de ne pas changer les prix depuis la période de Ramadan et ce protocole d’accord est arrivé à expiration, rappelle Éric Colle.

« Nous allons encore renouveler ce protocole d’accord pour fixer les prix de toutes ces d’henrées jusqu’au 31 décembre et notre travail sera de sensibiliser les commerçants et les opérateurs économiques en tenant compte du panier de la ménagère et des besoins de renforcement du pouvoir d’achat des populations dont de ne pas changer ces prix et avec l’État, nous ferons des contrôles sur les marchés pour nous assurer que ces prix soient respectés  » a t-il conclu

Aboubacar ll Sylla
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