Matoto : Le ministre Mamadou pèthè Diallo lance les épreuves de BEPC

Après l’examen d’entrée en 7ème année, c’est au tour des candidats au BEPC d’entrer en lice ce vendredi, 9 juin sur toute l’étendue du territoire national.
Dans la commune de Matoto à Conakry précisément au collège Saïfoulaye Diallo (Gbessia rond point), c’est le ministre de la santé et l’hygiène publique, Dr. Mamadou Pèthè Diallo qui a officié au lancement officiel des épreuves.

A l’entame, le directeur communal de l’éducation de Matoto, Sékou Kaba est revenu sur les statistiques:  » Les statistiques de cette année au BEPC session 2023 se résume comme suit: Au niveau de l’enseignement général, nous avons un total de 28567 dont 14686 filles;Franco-Arabe 891 candidats dont 646 filles. Le total fait 29458 dont 15332 filles » précisé t-il.

Le chef superviseur national dans la commune de Matoto, M. Gadri Bah directeur général adjoint du service national de formation continue des enseignants, appréciant les efforts du département de tutelle en matière de la qualification de l’éducation nationale, a également mis un accent sur le constat qu’il fait :  » il y’a pas de problème vraiment. Nous sommes ravis du fait que les élèves au niveau du BEPC session 2023 début aussi. Nous avons donné d’humbles consignes aux surveillants pour le bon déroulement des échéances. Parce que, cette année est particulière avec le slogan tolérance zéro. Donc, nous avons demandés à tous les enseignants de se débarrasser de tous les téléphones ainsi qu’aux élèves. Nous voulons que cette année que tous les candidats aient la même chance de succès parce que, si nous acceptons de faire la fraude ça risque de compromettre son brevet. C’est pourquoi, le ministre à mobiliser son équipes sur le terrain pour respecter et faire respecter les consignes » a dit Gadiri Bah

En officiant la rencontre, le ministre de la santé et de l’hygiène publique, Mamadou Pèthè Daillo noté :  » Cette Guinée est notre pays et chacun d’entre nous doit travailler pour la rendre meilleure. Les examens ce n’est pas quelque chose qui doit faire peur aux élèves, mais plutôt ça doit être une opportunité pour eux d’exprimer ceux qu’ils ont appris à l’école durant l’année. Cet examen ne vise pas sur la faiblesse de quelqu’un, c’est juste un système pour évaluer les niveaux de nos élèves à travers leurs enseignants. Donc nous comptons sur tout un chacun d’entre vous pour que ces examens nationaux passent dans les meilleures conditions » a t-il martelé.

Ama Sylla

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