Culture : C’est parti pour la cinquième édition du SALEC 

C’était en présence des secrétaires généraux, des corps  diplomatiques, des anciens ministres, partenaires techniques et financiers, des élèves venus des différentes écoles de la capitale que le lancement officiel de la 5éme édition du « Salon de la Lecture  dénommée « SALEC » autour du thème » le livre au service  de la lutte contre les violences basées sur le genre »
Cette 5éme  édition a connu la participation des pays invités entre autres, le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, le Gabon, le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Cameroun. C’est  madame la conseillère de mission du ministère de la Culture représentante du  ministre Moussa Moise Sylla qui a présidé le lancement officiel de cette cérémonie. Objectif: Promouvoir la lecture dans son ensemble au près des lecteurs.

Dans sa prise de parole, la commissaire générale du SALEG a d’abord remercié de près ou de loin tout ceux qui ont effectué un grand déplacement pour venir assité à cette cérémonie, avant  de souligner en disant que force est de dire que « le livre, comme vous le savez  aujourd’hui est le pont pour  accéder au savoir, à la culture, à la civilisation également. Il est aussi à la fois le miroir de la société et le condensé des préoccupations de l’humanité à chaque époque. La littérature est donc au service de toutes les causes et le creuset de toutes les causes. Nos espérances, elles transcendent le temps et les générations en s’adaptant à toutes les mutations et en accompagnant tous les mouvements de l’histoire ».

Plus loin, elle dira que  la lecture quant à elle, est bien plus qu’une simple activité. Elle est un outil de métamorphose, un moyen de réinventer notre façon de voir et de comprendre le monde qui nous entoure.  les livres nous permettent de changer de perspectives. Ils sont donc des fenêtres ouvertes sur d’autres réalités, des sources infinies d’inspiration et de réflexion. Dans ce monde complexe et très connecté, il est fondamental de promouvoir cette culture de la lecture. Car elle a l’opportunité d’améliorer la culture de la lecture. Car elle a l’opportunité de promouvoir cette culture de la lecture. Car elle a l’opportunité de promouvoir cette culture par le pouvoir de transformer les mentalités et d’éveiller les consciences.

Par ailleurs, la commissaire générale du salon de la lecture de Guinée a rappelé que selon les chiffres avancés par le club des jeunes filles leaders de Guiné, en 2024 notre pays a enregistré 244 cas de viol, 95 cas de mariage précoce, 51 cas de mutilation génitale féminine, 33 cas de violence conjugale et j’en passe. Pour donc changer ce paradigme en République Guinée, Kadiatou Kaba mise sur le livre. Ainsi, elle a fait savoir que la liberté, la dignité humaine, l’égalité des chances, la justice sociale, la lutte contre toutes les formes de discrimination sont des thèmes phares qui reviennent à toutes les époques dans l’univers des livres et qui engagent les écrivains.
Pour conclure ces propos, la commissaire générale du SALEC apporte en exprimant qu’aujourd’hui, de nombreux ouvrages ont été consacrés aux violences basées sur le genre et cela nous concerne tous parce que nous œuvrons tous pour une société équitable et tolérante dans laquelle personne ne sera lésé ou brimé en raison de son apparence, de son identité, de son genre, de son orientation sexuelle, bref de son choix de vie. Une société de pluralité et de diversité dont le livre sera la locomotive est possible et elle est à notre disposition.
Pour le représentant du PNUD  en Guinée a d’abord remercié les organisateurs pour cette belle initiative qui pour lui, on doit vraiment faire en sorte que la lecture soit au cœur du centre de notre éducation parce que ça va vraiment permettre à tout un chacun en particulier la nouvelle génération de comprendre que le monde ne peut pas aller sans la lecture. Ça va nous permettre d’ouvrir la  porte. Donc faisons a ce que ces genres d’initiatives continue à prospérer d’avantage.
Présidant le lancement officiel de cette cérémonie, madame la conseillère de mission du ministère de la culture, représentant du ministre Moussa Moise Sylla c’est d’abord réjouit pour la tenue de cet événement, avant de martelé que « la lecture reste aujourd’hui le socle du développement. En lisant aujourd’hui, ça te permet de comprendre beaucoup de choses. Donc on fera tout pour pérenniser céla en République de Guinée ». A fait savoir.
Aboubacar II Sylla 626 00 74 79
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